In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque. Les liens sont regroupés sur le blog La bibliothèque de Lilie.
Cette semaine, je me suis plaisir en achetant :
Mon nom est Ashandia Parker et je suis un Phénix. Selon la légende, le Phénix est un oiseau fabuleux qui s’immole par le feu et renaît de ses cendres. « Fabuleuse », tout dépend de mon humeur et de ma bonne volonté. « Oiseau », le jour où j’ai de vraies plumes sur le dos, je me prends en photo et je vous en offre avec dédicace ! Pour le reste, y’a de l’idée…
Jusqu’à maintenant, ma vie se résumait à survivre dans une ville où tout un tas de types pas très recommandables aurait eu grand plaisir à faire la peau à une Inaltère en voie de disparition comme moi ou, à défaut, à tenter de coucher avec moi. Enfin, ça, ça concernait surtout cet abruti de Seigneur Dragon d’Homayoon…
Aujourd’hui, mes préoccupations précédentes ont pris du plomb dans l’aile, tout comme la paix qui régnait jusque-là au sein de la communauté Inaltère de la région. La rébellion gronde, les trahisons s’élèvent et, avec elles, les têtes tombent. Les loups sont sur le pied de guerre et la chasse au traître a été ouverte.
De mon côté, je pourrais me contenter de pleurer les morts et de m’immoler de rage ou de tristesse, mais ma rencontre avec une certaine Eilidh Walden va chambouler mes plans. Bien plus, en fait, que tout ce que j’aurais pu m’imaginer…
J'ai reçu dans ma BAL :
Depuis vingt-cinq ans, la civilisation se réduit à de pauvres enclaves qui s’efforcent d’endiguer des flots de morts-vivants. Une jeune fille nommée Temple sillonne ces paysages d’une Amérique dévastée lors d’une errance solitaire qui lui permet de faire taire ses démons intérieurs. Elle n’a pas souvenir du monde avant l’arrivée des zombies, mais se rappelle le vieil homme qui les avait recueillis, son jeune frère et elle ; un cadet dont elle a eu la charge jusqu’à la tragédie qui l’a poussée à aller de l’avant, en quête de rédemption. Un voyage initiatique d’îlot préservé en îlot préservé, à travers un Sud ravagé en proie à la sauvagerie, au cours duquel Temple devra décider où fonder un foyer et trouver le salut qu’elle cherche désespérément.
Ont rejoint le coin des BD, trouvé en occasion (depuis le temps que mon mari les voulait !!!) :
Le petit Kévin est un attendrissant Biker en culottes courtes. Son papa est un passionné de Harley, musclé et tatoué comme il se doit. Sa maman, qui a un vrai physique de pin-up, ne s’en laisse pas conter pour autant. Il faut dire qu’entre le fils et l’époux, il y a de quoi perdre la tête. Le plus turbulent n’est pas celui qu’on croit…
Si le fiston ne trinque pas encore au Jack Daniel’s, il aime imiter son Chacal de père en bien d’autres domaines. Et comme son héros, notre apprenti motard aime tailler la route sur sa bécane miniature. En revanche, Kévin rechigne un peu pour aller à l’école. Mais dans la cour de récré, il ne se fait moins prier pour jouer les gros bras et épater les filles. Enfin, et surtout, Kévin ne me manquerait une projection d’Easy Rider pour rien au monde.
Son paternel, quant à lui, est plus inspiré par les « meetings avec les frangins du club » que par les dîners romantiques. Heureusement car, s’il ne se charge pas de faire du scandale, c’est cette jalouse de Sophie (qui finalement ne porte pas si bien son prénom) qui déclanche des bagarres dans les restaurants quatre étoiles !
«Happy birthday, Litteul Kévin !»
Eh oui ! Le personnage et la série fêtent leurs 20 ans. Le cadeau ? Ah... c est Coyote qui le fait ! En plus il s agit d un super cadeau : un album-souvenir qui revient sur ses vingt dernières années des premières tournées au Sli-Bar avec Mammouth et Piston à l'arrivée des Voisins du 109 en passant par la naissance de Litteul Kévin - au rythme des inimitables vrombissements de sa Harley Davidson fétiche. Évidemment, la part belle est faite aux ambiances viriles ! Mais qu on ne s y trompe pas : Coyote, c est aussi des sentiments, de la tendresse, une vraie joie de vivre qui transparaît dans des dialogues truculents débités à grand renfort de calembours, des situations à mourir de rire et dans chaque trait de son dessin, bien sûr ! Dans un style très caricatural, Coyote se moque des proportions et des poses naturelles, il s amuse. Le graphisme colle parfaitement au scénario : tout y est excessif et fignolé, en témoignent les effets de matière ou les ombres remarquablement reproduites. Si vous pensiez encore que les motards étaient de méchants gros bras tatoués, 20 Ans de Bulles et de Motos risque de bousculer pas mal de préjugés ! Coyote nous ouvre les portes de son atelier en même temps que celles de sa mémoire, pour un résultat aussi esthétique qu'émouvant !
Et vous, vous avez craqué pour quels livres ?
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